Poursuivi devant le tribunal correctionnel de Bastia pour trafic d’influence passif, recel de biens provenant d’un délit, blanchiment aggravé et faux en écriture, M. Castelli – qui nie les faits qui lui sont reprochés – a bénéficié de « subventions aimables d’entrepreneurs » pour près de 200 000 euros, pour compléter le financement de sa villa, « via des fausses factures », d’après le procureur de Bastia Arnaud Viornery.
Source : Boursorama, 01/03/2021