L’association de lutte anticorruption s’est constituée partie civile dans la plainte déposée par un agent de la faculté de Saint-Denis, qui a dénoncé de supposées malversations internes (remboursements injustifiés de frais de transport, déplacements financés pour assister à une conférence qui n’a en fait jamais eu lieu, dépassement de frais de missions…) Sanctionné par sa hiérarchie, il a également obtenu le soutien de la Maison des lanceurs d’alerte.
Source : Le Parisien, 18/07/2021