La situation financière de l’ancien secrétaire général de l’Elysée a nécessité une nouvelle audience, au terme de laquelle le Parquet national financier a alourdi ses réquisitions, réclamant une peine d’un an de prison ferme.
Le Parquet national financier avait initialement requis un an de prison, dont six mois avec sursis et 10 000 euros d’amende contre M. Guéant, considéré comme le principal ordonnateur de ces contrats passés avec les sociétés de Patrick Buisson et Pierre Giacometti. Mais le tribunal n’avait alors pas connaissance d’autres décisions judiciaires concernant l’ancien secrétaire général de l’Elysée, dans l’affaire des primes en liquide versées au sein du ministère de l’intérieur.
Source : Le Monde, 03/12/2021