Déchue de tout mandat en février après sa condamnation pour détournement de fonds publics, Brigitte Barèges était rejugée à Toulouse, jeudi. Une peine plus lourde a été requise.
Lors de ce second procès, relate l’AFP, le ministère public a été plus loin que la première condamnation, en demandant à l’encontre de Brigitte Barèges 12 mois d’emprisonnement avec sursis, 30 000 euros d’amende et surtout six ans d’inéligibilité, « ce qui l’empêchera de participer aux prochaines élections municipales », a soulevé le procureur général. L’arrêt de la cour d’appel a été mis en délibéré. Brigitte Barèges devrait être fixée sur son sort d’ici fin 2021.
Source : Actu.fr, 28/10/2021