L’Union syndicale des magistrats et le Syndicat de la magistrature ont écrit à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, pour faire part de leurs doutes sur « l’impartialité objective » du Belge Didier Reynders.
Le gigantesque plan de relance se voulait « transparent ». Mais l’ouverture des données concernant ses bénéficiaires n’a pas eu lieu, montre une enquête du collectif #RecoveryFiles.
La Commission européenne devrait temporairement empêcher son personnel d’accepter des emplois dans le secteur privé s’ils présentent des risques de conflits d’intérêts qui ne peuvent pas être compensés par des restrictions, a recommandé la Médiatrice européenne Emily O’Reilly.
En tirant le fil de l’affaire Pinxten, Libération a mis au jour un véritable système de conflits d’intérêts et de trafic d’influence qui étend ses ramifications non seulement à la Commission, mais aussi à la CJUE, le temple du droit européen, qui implique pour l’essentiel des membres du PPE (Parti populaire européen), la maison mère des partis conservateurs européens.
Cette déclaration fait suite à un rapport qui a révélé une surreprésentation des lobbyistes d’entreprises dans les discussions ayant trait à d’importantes propositions portant sur le numérique européen.