Le Journal du dimanche révèle les conclusions d'un rapport des enquêteurs de l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales dans le cadre de l'enquête sur les soupçons d'emplois fictifs d'assistants d'eurodéputés RN.
Le 15 avril 2021, le Sénat a introduit un amendement à la loi « Sécurité globale », punissant de trois ans de prison les personnes qui s’introduisent dans des exploitations agricoles ou des abattoirs pour filmer des pratiques néfastes au bien-être animal. La Maison des Lanceurs d’Alerte et l’association L214 « Éthique et animaux » ainsi que 16 juristes et universitaires ont déposé, le 13 mai 2021, des observations extérieures auprès du Conseil Constitutionnel.
Tout juste une semaine avant de se lancer officiellement dans la bataille des régionales, M. Bort a été placé en garde à vue, le 4 mai, dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet de Montpellier pour des faits présumés d’« abus de biens sociaux » et « recel d’abus de bien sociaux », selon des informations de Mediapart.
Le président de la région Guadeloupe, étiqueté La République en Marche, est dans le viseur des autorités dans le cadre d’une enquête pour « abus de confiance, détournement de fonds publics et financement illégal d’une campagne électorale ».
Plusieurs employés du service des espaces verts de la commune de Rueil-Malmaison assurent à « Libération » avoir été contraints d’entretenir les jardins particuliers de deux proches collaborateurs du maire pendant plusieurs années.
Claude Guéant a fait l'objet d'une nouvelle mise en examen pour corruption passive et usage de faux qui lui a été signifiée le 13 avril dernier, dans l'affaire du supposé financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.
Le parquet national financier, qui avait ouvert une enquête préliminaire le 30 septembre 2018 avant le match entre les deux équipes (6-1) en Ligue des champions, a décidé de classer sans suite l'affaire.
La commission des requêtes de la Cour de justice de la République (CJR) a classé la plainte de l'association Anticor pour « favoritisme » visant le ministre de la Santé Olivier Véran dans sa gestion de l'application Stopcovid, a appris l'AFP mercredi auprès du parquet général près la Cour de cassation.
Dans un arrêt rendu le 11 mai, la juridiction suprême dit qu’on peut être condamné en justice pour avoir rendu publics des documents d’intérêt général tout en étant reconnu comme lanceur d’alerte.